Arts
"Exposition René Gruau à Toulouse".
1992 1 Affiche offset bicolore signée dans la planche, et titrée "Gruau Centre de l'Affiche Sept-Oct-Nov 92". Ramonville, Arts Graphiques, 1992, 65 x 40 cm.
Affiche annonçant l'exposition qui se déroula à Toulouse de septembre à novembre 1992 de ce formidable créateur de mode qu'est René Gruau. D'origine italienne, René GRUAU (Rimini, 1909-2004), de son véritable nom Zavagli Ricciardelli Comte Delle Caminate, vient s'installer à Paris avec sa mère française, dont il prend le nom en 1931. Très jeune il entame une carrière d'illustrateur de mode avec Lidel en Italie, puis Fémina, Marie-Claire, L'Officiel de la Couture, Vogue, Harper's Bazar, Flair, et une longue collaboration avec "International Textiles".
"Robert et Sonia Delaunay".
1959 Affiche lithographiée signée dans la planche Robert Delaunay, Mourlot, 1959, 77 x 50 cm.
Exposition consacrée à Robert (Paris 1885 - 1941 Montpellier) et Sonia Delaunay (née Sara Illinichtna Stern, Gradizhsk- Ukraine 1885 - 1979 Paris), au Syndicat d'Initiative de Lyon, Festival de Lyon Charbonnières, sous le signe de l'aviation en hommage à ce couple d'artistes "Modernes", Maîtres de la couleur, des formes géométriques, des contrastes ... Plis, trous d'épingles marginaux, infimes brisures.
"Autoportrait en Neptune".
MOURLOT 1964 Paris, Mourlot, 1964, lithographie en couleurs signée en bas à droite dans la planche, 77.5 x 50.3 cm., cadre argent.
Affiche de Kees Van Dongen (Rotterdam 1877-1968 Monaco) présentant un autoportrait de l'artiste déguisé en Neptune "le torse nu avec un large pantalon de couleur tendre, les cheveux et la barbe parsemés de petits noeuds de ruban rose", description d'André Warnod suite au bal costumé organisé par l'artiste en 1914. Ce visuel fut utilisé pour l'affiche d'exposition qui eut lieu au Musée des Beaux-Arts Palais Saint Pierre à Lyon, à l'occasion du Festival de Lyon, de juin à octobre 1964. L'huile sur toile de 1922 est conservée au Centre Pompidou. Kees van Dongen est un peintre néerlandais naturalisé français qui appartient au mouvement dit "fauve". Il est qualifié de peintre des élégances parisiennes dont le domaine de prédilection est la femme. Légers plis, infimes déchireures et salissures marginales.
Feu Pierrot 1857 ... 19... ?
Paris Floury Éditeur 1919 1 Paris, Floury Éditeur, in-4, 1919, broché, couverture illustrée rempliée.
Édition originale de cette autobiographie, illustrée par Adolphe Willette de nombreuses compositions in texte, de 31 planches hors-texte - dont 15 imprimées en couleurs et contrecollées. Un des 50 Exemplaires sur papier Japon. Légères usures à la couverture dont une déchirure, petit manque en queue, au dos.
"Jeune-femme blonde aux nattes".
1940 Lithographie en couleurs signée en bas à gauche dans la planche, (1940), 74.5 x 56 cm. (format de la feuille), 54 x 46 cm. (format à vue).
A demi-nue, une jeune-femme a le regard ailleurs... Moïse Kisling (1895-1953) est un peintre franco-polonais, en Pologne, il a suivi les cours de Pankiewicz qui l'encouragea à partir pour la France. Lors de la première guerre mondiale, il s'engagea dans la Légion étrangère, ce qui lui permit d'acquérir la nationalité française. Il s'installa à Paris et son atelier fut un lieu de rencontre, on y trouvait Modigliani, Derain (dont on ressent l'influence dans l'oeuvre de Kisling), et des écrivains comme Cocteau et Radiguet (in Bénézit).
"En voiture Susan".
1980 Mine de plomb signée et datée en bas à droite, 2020, 20 x 26 cm., encadrée.
Claude Chanot est un peintre français, né en 1942, parisien de souche. Élève de lÉcole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs, des ateliers Rohner et Chappelin-Midi, il choisit la peinture, tout en restant marqué par la décoration. Il intègre latelier la section dOr, où il est élève de Jean Souverbie. De nombreux voyages, notamment en Italie et en Asie, viennent compléter sa formation. Il a participé depuis 1978 à de nombreux salons et expositions de groupes ou personnelles. Il a illustré plusieurs livres, dont notamment Le Prince. Cette mine de plomb met en lumière l'automobile au féminin dans un vent de folie.
"Le Florida. Strip-tease permanent"
1960 Gouache titrée, (1960), 32.5 x 50 cm.
Maquette d'affiche que réalise, vraisemblablement, l'affichiste et illustrateur anglais Percy Drake Brookshaw (1907 - 1993). Une strip-teaseuse fait un jeu de jambes, devant des palmiers et sous un ciel bleu, pour le club de strip-tease "Le Florida".
"Nectar - Chevalier Saint-Georges".
1930 Publicité parue dans la revue l'Illustration, (1930), 36.5 x 27.5 cm.
Dransy inventa l'image du livreur Nectar qui devint la tête d'affiche des Vins Nicolas. Un jeu s'établit entre les illustrateurs: A qui chargera le plus Nectar en nombre de bouteilles portées ? Celui-ci en porte 32 ! Petites taches et infime déchirure marginale.
La plus haute élégance du Monde entier, au meilleur marché de tout Paris.
Draeger 1920 Porte-buvards. Paris, Draeger, 1920, in-4, portefeuille cartonné relié par un cordon, couverture illustrée en couleurs.
Porte Buvards offert par les grands magasinsdes Galeries Lafayette. A l'intérieur, maintenus par un cordon, figurent des buvards imprimés en bleu et illustrés de charmants dessins par Léon Benigni. Petites usures à la couverture et aux coins. Bel et agréable exemplaire.
Livret de folastries a Ianot Parisien. Plus, quelques Epigrammes grecs : & des Dithyrambes chantés au Bouc de E. Iodëlle poète tragique.
Paris LUTETIA 1924 1 Imaiges de Joseph HEMARD. Paris, Lutetia, Édition du Quatriesme Centenaire, 1924, in-8, broché, couverture illustrée en couleurs rempliée, 102 pages errata, "Registre du Parlement", "Privilège".
Belle réimpression anastatique de ce célèbre ouvrage de Ronsard, paru pour la première fois en 1553. Le texte est conforme à celui de 1553 dont il reproduit la graphie et même les fautrs. Illustrations gaillardes et enjouées de Joseph Hémard, joliment aquarellées au pochoir, à chaque page. Très légères brunissures au dos et à la couverture. Bel exemplaire. Tirage limité à 680 exemplaires. Un des 650 exemplaire numéroté.
"Léda aux cygnes".
1925 Gouache signée en haut à droite, (1925), 26.7 x 20.5 cm.
"Harmonicas Thorens".
1950 Technique mixte signée en bas à gauche de la photographie et du dessin : gouache, montage photographique et impression, Suisse, Fiedler S.A., réunion de deux publicités, (1950), 32x 22 cm. (format à vue), 35 x 25.5 cm. (format de la feuille).
Belle réalisation publicitaire de L. Matthey, pour les harmonicas Thorens, mêlant divers techniques telles que la photographie, la gouache et l'impression. C'est en 1883 que les Établissements Thorens furent créé en Suisse. Ils étaient fabriquants de boîtes à musique, de phonographes et gramophones, tourne-disques et de fameux harmonicas. Quelques trous de perforations.
"Les mariés".
1930 Pochoir signé en bas à gauche, rehauts d'or, (1930), 14.2 x 21.5 cm. (format à vue), 24 x 31 cm. (format de la feuille).
Charmant pochoir aux traits nets et aux couleurs franches posées en aplat. Jeanne HEBBELYNCK (1891-1959) est célèbre pour avoir renouvellé l'imagerie religieuse à l'intention des enfants et des tous-petits. Elle travaille avec l'éditeur Desclée de Brouwers, surtout sur des thèmes religieux.
Discours de la Méthode pour bien conduire sa raison, & chercher la vérité dans les Sciences. Plus la Dioptrique, les Météores, la Méchanique et la Musique, qui sont des essais de cette Méthode. Avec des Remarques & des éclaircissements nécessaires.
1668 Paris, Chez Charles Angot, 1668, in-4, veau brun de l'époque, dos à 5 nerfs orné de caissons et de fleurons dorés, roulette dorée sur les coupes et les coiffes, tranches mouchetées rouges, 303 pages suivies des tables (23 pages) ; 127 pages et 1 feuille.
Cette édition rare est considérée comme la Troisième, dont l'achevé d'imprimer date du 8 mai 1668. Elle présente en édition originale la seconde partie concernant le Traité de la Mécanique. Quant à l'Abrégé de la Musique, il est considéré comme la première édition en français (in Guibert, Bibliographie de Descartes). "Pour rendre son oeuvre accessible, Descartes abandonne le latin pour sa langue maternelle" (in Exposition Descartes, Bibliothèque nationale, Paris 1937 pp.91-92). René Descartes (1596-1650) est né en Touraine en 1596 d'un père conseiller au Parlement de Bretagne. En 1616 il est bachelier puis licencié en droit à l'Université de Poitiers. En 1618 il quitte la France pour la Hollande et entre dans l'armée du prince protestant Maurice de Nassau. Après avoir abandonné la vie militaire, il voyage en Europe en peaufinant la méthode dont il a eu l'idée durant l'hiver 1619. Dès 1629 il travaille à ses Essais (Dioptrique, Météores, Géométrie, Le Monde), qu'il publie en 1637 avec le Discours de la méthode dont ils constituent l'application. Commence alors une correspondance continue avec les savants de son époque. En 1649, il quitte la Hollande pour la Suède à l'invitation de la Reine Christine, à qui il donne des leçons de philosophie. Il meurt à Stockholm en février 1650. Ses papiers sont transmis à Clerselier qui publiera divers traités et volumes de lettres entre 1657 et 1667. ( Guibert, A. J. : Descartes. Bibliographie des Oeuvres publiées au XVIIème s., Paris, C.N.R.S., 1976). Usures d'usage, fentes aux mors, pour cette reliure d'époque, brunissures et taches à quelques pages, erreur de pagination pages 264-265
"Trouver chaussures à son pied... Oui mais en Bally ! ".
1980 1 Affiche, lithographie en couleurs, signée dans la planche en haut à droite, (1980), 64 x 42 cm.
Bernard Villemot (Trouville 1911-1989), l'un des maîtres de l'affiche française de l'après-guerre formé a l'école de Paul Colin, réalise ces silhouettes, hommage aux femmes de Matisse. Cette jeune femme blonde sur fond noir laisse apparaître ses longues jambes chaussés de rose par Bally - par lequel Villemot se dit influencé - sur fond de ciel rouge et d'isbas. Bernard Villemot (1911-1989), admire Capiello et Cassandre il crée les logos toujours célèbres de Perrier et Orangina. Sa carrière est marquée d'une longue amitié avec Savignac.
Picturesque representations of the dress and Manners of the Turks.
1814 Illustrated in Sixty coloured engravings with descriptions. London, imprimé pour John Murray, Bulmer and Co, (1814), grand in-8, maroquin bordeaux à grains longs à large dentelle dorée, dentelle à froid, double filets dorés en encadrement; dos orné à faux nerfs, tranches dorées, filet doré sur les coupes, dentelle dorée intérieure.
Cet ouvrage est consacré aux représentations des manières et des types de costumes de l'Empire Ottoman à la fin du XVIIIème siècle et au début du XIXème siècle. Toutes les catégories de la population sont représentées en 60 planches coloriées à la poupée : Courtisans, serviteurs du Sultans, Odalisques et Eunuques, musiciens, danseuses, derviches tourneurs, Spahis, Tatars, Juifs, Arméniens.... Les 60 textes expliquent en anglais le rôle de chacun des personnages ou types ainsi qu'une description de leurs costumes. sont d'Octavian Dalvimart (peintre et graveur français) . Cet ouvrage apprécié, fut édité pour la première fois en 1802 puis réédité. Bel ouvrage aux illustrations superbes, présentant de petites usures et griffures à la reliure et aux coins, fragilités au brochage, quelques piqures. Les textes explicatifs sont basés sur des uvres du baron François de Tott, J. Dallaway, Guillaume-Antoine Olivier, Mary Montague, Joseph Pitton de Tournefort, Ignatius Mouradgea d'Ohsson, Barthelemy d'Herbelot, et d'autres.
Journal des faux-monnayeurs
Paris Librairie Gallimard Édition de la Nouvelle Revue Française 1927 1 Paris, Librairie Gallimard, Édition de la Nouvelle Revue Française, 1927, in-12, broché, titre en rouge sur le plat supérieur,
Première édition Gallimard imprimée à 550 exemplaires numérotés sur Hollande van Gelder. Service de Presse. André Gide tint ce Journal en même temps qu'il écrivit son livre "Les faux-Monnayeurs". Il nous livre ainsi son "mécanisme créateur". Petites usures et salissures à la couverture. (In Talvart VII-48/42b).
Main d'uvre. Poèmes 1913-1949.
1949 Paris, Mercure de France, imprimerie Darantiere 1949, fort volume in-12, broché, couverture crème illustrée du caducée, 544 pages.
Recueil de poèmes de Pierre Reverdy (Narbonne 1889-1960 Abbaye de Solesmes), écrits entre 1913 et 1949. Ce poète, admirateur de Stéphane Mallarmé, fonde en 1917 la revue Nord-Sud. Il participa au renouveau de la poésie française en initiant le mouvement Surréaliste et dans laquelle débutèrent André Breton, Soupault, Aragon... Ses amis du Bateau Lavoir sont Guillaume Apollinaire, Max Jacob, Picasso, Matisse, Braque... Infimes plis à la couverture et aux pages de gardes et de titre, exemplaire partiellement non coupé. Tirage de tête limité à 120 exemplaires numérotés. Un des 100 exemplaires sur Vélin pur Fil Lafuma.
Catalogue de très beaux livres. Illustrés de Gravures originales de Delacroix à Chagall 1828-1930.
1929 Frontispice de Laboureur. Paris, George, 1929, in-4, broché, couverture rempliée, titre en bleu sur le plat supérieur,
Catalogue de la vente aux enchères du 20 mai 1929 réunissant une sélection de 56 ouvrages bibliophiliques, suivi de la liste des 48 illustrateurs et de la Table des matières. In-fine sont reproduits des illustrations par Jacomet, la plupart en noir et blanc. Citons : Picasso (Gens du Cirque - Période Bleue), Chagall, Rodin, Steinlen, Maurice Denis, Henri de Toulouse-Lautrec, Pierre Bonnard, Maillol, Lepère, Marie Laurencin, Gus Bofa, Utrillo, Mussli... Gravure à l'eau-forte de Jean-Émile Laboureur en frontispice, tiré par Monnard. Salissures et usures d'usage à la couverture, intérieur très frais.
Alcindor ou suite à la Leçon d'amour dans un parc.
Paris LE LIVRE 1920 1 Orné de 23 aquarelles de Pierre BRISSAUD. Paris, "Le Livre", 1920, in-8, broché, couverture rempliée illustrée en couleurs.
Conte libertin illustré avec beaucoup de fraîcheur par BRISSAUD. Tirage limité à 512 exemplaires. Un des 500 exemplaires sur Vergé à la Forme des Papeteries d'Arches. Petites salissures et infimes piqûres sur la couverture. Bel exemplaire, infimes salissures à la couverture.
Les Amours de Psyché et de Cupidon.
La Haye Adrian Moetjens 1707 Gravure frontispice avant toute lettre. La Haye, chez Adrian Moetjens Marchand Libraire près la Cour, 1707, in-16, velin, dos à 5 nerfs, titre doré sur le dos, tranches rouges, XVI--134-168-II-30 pages.
Épître à la Duchesse de Bouillon, Préface, Les Amours de Cupidon et in-fine Adonis. "La gravure qui est en tête de cette édition a trait au poème de Psiché" In Rochambeau, 1911, 1702-8. Elle est avant toute lettre. Trous de vers marginaux sur une quinzaine de pages. Manque de papier en bas de la page 17 de la seconde partie, mouillures très pâles in-fine, Ex-dono raturé sur la page de titre. Bel exemplaire.
"La Moisson - Trains canons".
1916 Gouache et mine de plomb, titrée, signée, et datée en bas à droite, 1916, 16.3 x 23 cm.,
Henri-Jean-Guillaume Martin (Toulouse 1860-1943 Labastide-du-Vert). Après des études à l'École des Beaux-Arts de Toulouse, il sera l'élève de Jean-Paul Laurens à Paris puis un voyage en Italie, en 1885, complétera sa formation.
"Vinification".
1930 Deux lavis d'encre sur papier contrecollé, (1930), 80,5 x 64,5 cm.
Peintre, graveur et décorateur Albert Decaris (Rouen 1901-1988) École Française et Peintre de la Marine, se forme à lécole Estienne. Il y découvre la gravure avant dentrer aux Beaux-Arts de Paris. Reçu «Premier Grand Prix de Rome» en 1919, il séjourne à la Villa Médicis. Il grave le premier timbre dune longue série pour lÉtat Français en 1935. Il illustre également de célèbres auteurs tels que Montherlant, Giono Albert Decaris, considéré comme lun des plus grands graveurs du XXe siècle, a laissé une uvre importante influencée par la mythologie grecque, romaine ainsi que ses nombreux voyages. Son style est identifiable grâce à sa maîtrise du dessin, à la finesse de son trait, de son burin et aux arrondis de ses formes. Ces deux planches, au format important, sont proches du travail publicitaire réalisé par Albert Decaris, pour Draeger, la Société Générale ou Rivoire & Carret. Les fûts, la monumentalité des caves où repose le vin de Cognac, la technique de vinification mise en avant grâce au travail de ces hommes sont traités avec théâtralité.
"Cornacs à dos d'éléphants".
, Haasen 1931 Eau Forte signée en bas à droite à la mine de plomb, Épreuve d'Artiste, Atelier Haasen, 1931, 32 x 41 cm. (format à vue), 41 x 51.5 cm. (format de la feuille), cadre noir saillant.
Paul Jouve (1878-1973) est sans conteste l'un de nos plus grand artiste animalier. Il aime dessiner d'après nature. Il fréquenta l'école vétérinaire, les abattoirs afin d'y apprendre l'anatomie animale ; il visita régulièrement le jardin des Plantes et de nombreux zoos européens. Passionné par les félins et la faune africaine, il sait rendre vie à ses sujets animaliers et n'hésite pas, bien au contraire, à partir en Afrique du Nord, en Extrême-Orient, pour travailler sur le motif. Des cornacs à dos d'éléphants traversent la rivière des parfums. En 1921, Paul Jouve obtient une nouvelle bourse pour partir en Extrême Orient. Il est séduit par l'architecture, la faune et la flore qui s'entremêlent. Cette gravure est un témoignage de son voyage en Inde du Sud et est tirée d'un portfolio paru aux Éditions Apollo pour la galerie Weill. Tirage limité à 100 exemplaires, in Félix Marcilhac, "Paul Jouve Vie et oeuvre", Éditions de l'Amateur, 2005. Belle épreuve, infimes marques. Au verso de cette Épreuve d'Artiste cachet de l'Atelier Haasen.
Gabrielle à la plage.
1996 1 Paris, Chanel, Vue sur la Ville, 1996, in-4, broché, couverture crème reliée par un cordon, titre doré sur le premier plat illustré d'un coquillage.
Dossier de presse présentant la collection de bijoux inspirés par la mer pour l'année 1996 où se mêlent les illustrations de Pierre LE TAN au photographies de Franck DIELEMAN. "Nous avons imaginé le carnet de notes et de croquis qu'elle avait avec elle lorsqu'elle était sur la plage. Pierre Le TAN a restitué l'atmosphère de véritables photos d'époque. A la manière d'un scrap-book, il a disposé, autour de l'image, des coquillages, une étoile de mer, une vague... que l'on retrouve dans la forme et l'esprit des bijoux de la collection" (in "Traits séduisants").
The Art of Robert Wan.
2000 Vue sur La Ville, Paris, 2000, in-4, toile noire éditeur, titre rouge sur la couverture, titre en long sur le dos carré, sous étui rouge à rabats noirs, 42 pages.
Catalogue présentant les perles Robert Wan - pierres précieuses biologiques - alliant, féminité et luxe. Les photographies de Jean-François Gaté et Michel Dubois captent l'iridescence de ces perles tandis que les illustrations de Christian Gaillard reflètent leur âme. Une page se détache, . Superbe réalisation publicitaire, que nous présentons en version anglaise.
Égoïste.
Vue sur la Ville. 1990 1 in-12 Paris, Chanel, Vue sur la Ville, 1990, in-12 oblong (15 x 30 cm), couverture pelliculée sur fond noir et titrée en lettres capitales blanches dans le plus pur style Chanel, 12 pages en noir et blanc.
En confiant à Jacques TARDI l'illustration de ce dossier de presse destiné aux journalistes de la presse internationale, Chanel donne à son parfum un caractère résolument impertinent en mêlant intrigue, humour et séduction. Texte de Nicole Contencin, ici nous présentons la version espagnole (in "Traits séduisants" de Alain Lachartre, Éditions Scala, 2006). Mouillures sur la couverture.
19 Pastels.
1991 1 Silicom, Vue Sur La Ville, 1991, in-8, couverture sérigraphiée, illustration contrecollée sur la couverture rempliée.
Jacques de Loustal, né à Neuilly sur Seine en 1956, est un scénariste, dessinateur, auteur de bandes dessinées et de carnets de voyage. Après des études d'architecture, il fit parti de l'équipe de Métal Hurlant. En quelques années il est devenu l'un des piliers de la bande dessinée. "Illustrateur de l'émotion, coloriste hors pair, il sait comme personne restituer un silence, une atmosphère" (in galerievuesurmer). L'Agence de Communication Silicom présenta ce recueil réunissant 19 pastels de Loustal dans le cadre du XVIIIe Festival International d'Angoulême. Confidentiel, cet album signé par l'auteur et Alain Lachartre (dirigeant de Vue sur la Ville), ne fut tiré qu'à 380 exemplaires. Un des 30 exemplaires réservé à l'auteur et à l'éditeur. Rare et bel album.
Étrennes patriotiques. Almanach pour la présente année. Constitution Française. Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen. Présenté au Roi par l'Assemblée Nationale le 3 septembre 1791.
1791 Paris, Desnos, 1791, in-16, veau marbré, dos lisse orné de faux-nerfs, pièce de titre en maroquin vert, roulette dorée sur les plats et les coupes, tranches dorée, 160 + 12 pages in-fine calendrier.
Frontispice représentant le génie allégorique de Louis XVI . Reliure usagée, légères fentes et manques, petit manque de papier page 149, coin supérieur 4 mm, n'affectant pas le texte.
" Adieu !"
1910 Encre, aquarelle et mine de plomb sur papier, (1910), 26 x 28 cm. (format à vue),43.4 x 44.4 cm., encadrée.
Jean-Louis FORAIN (1852-1931) étudie la peinture sous la direction de Carpeaux et Gerôme. Caricaturiste, anti-Dreyfusard, il fonde avec Caran d'Ache le quotidien Psst, au moment de l'affaire. Il entretient des liens réguliers avec Verlaine, Rimbaud, Manet et Degas avec qui il partage sa passion pour l'univers du spectacle et de la danse.
"Le Stade de Mestalla".
1925 Affichette lithographiée, Valence, Ortega, (1925), 30.5 x 20.8 cm. (format à vue), 34 x 24 cm. (format de l'affichette), cadre bois.
Affichette Art déco de Formo présentant le stade Mestalla, à Valence, en Espagne. Deux joueurs de football s'affrontent dans ce stade fameux, ouvert en 1923. Le footballeur au premier plan, appartient à l'équipe de Valence. Bel état, quelques piqures en bordure n'atteignant pas le dessin.
La Création et L'Histoire d'Adam et d'Ève. Histoires pour Rachel et David.
1926 Paris, Librairie Fischbacher, collection Histoires pour Rachel et David, 1926, in-4, reliure spiralée par Draeger, imprimé par Coulouma, coloris de Gutave Gauthier, 42 pages.
Ouvrage orné de 25 compositions en couleurs par Henri Côte, coloriées au patron (pochoir) par Gustave Gauthier. Nous joignons le bon de souscription indiquant les préparations des 4 prochains Albums de "Histoires pour Rachel et David". Bel album illustré de superbes compositions Art déco par Henri Côte. Petites taches et insolation à la couverture, léger accident à la reliure spiralée. Un des 1.500 exemplaires sur Vélin Prioux.
"Les Amies filles".
2015 Huile sur panneau signée en bas à gauche, (2015), 108 x 108 cm., cadre noir.
Rika Deryckere, née en Belgique en 1962, est peintre, dessinatrice et graveur. Élève aux Beaux-Arts en Belgique, Espagne, aux Pays-Bas ... elle y étudie non seulement le dessin et la peinture mais aussi la danse et le théâtre qui marquent profondément son oeuvre, dont l'art de la mise en scène. De cette peinture, à l'expressivité corporelle forte sous l'inspiration de Paul Verlaine, émane une sensualité proche de l'Expressionnisme flamand.
"Grand prix de France 1934".
1934 Lithographie signée en bas à droite dans la planche, (1934), 34 x 55 cm. (format à vue), 49 x 65 cm. (format de la feuille).
Lithographie de Rob Roy (1909-1992) représentant l'Alfa Romeo P3 de Louis Chiron lors du Grand Prix de France 1934.
"Les Jardins Secrets de Christian Dior".
L'Atelier Eric Seydoux. 1993 Estampe sérigraphie titrée, L'Atelier Éric Seydoux, 1993, 62 x 40 cm.
Pierre Le Tan, artiste contemporain (1950-2019), peintre, illustrateur et décorateur, fin et discret, fut révélé par le New Yorker, avec lequel il collabore régulièrement, et est l'illustrateur fétiche de Modiano. Ses créations pour le Salon du Dessin, les publicités pour Chanel, Gucci, les Galeries Lafayette, sont immédiatement reconnaissables avec leurs fines hachures, leurs ombres passées au lavis et les délicates touches d'aquarelle.
"Obésité".
1935 Gouache titrée et signée en bas à gauche, Draeger, (1935), 14,3 x 13 cm.
Jean-Adrien MERCIER est un illustrateur et aquarelliste de premier ordre mais aussi un affichiste et un décorateur (Paquebot France). Une exposition rétrospective lui fut consacrée en 1995 à la Bibliothèque Forney, ainsi que des expositions tournantes, notamment aux Etats-Unis. Maquette originale pour une campagne publicitaire menée par Draeger vantant les mérites d'un médicament pour traiter l'obésité.
"Biphédrine".
1935 Gouache et collage titrée, annotée au verso, Draeger, (1935), 17,5 x 28,5 cm.
Jean-Adrien MERCIER est un illustrateur et aquarelliste de premier ordre mais aussi un affichiste et un décorateur (Paquebot France). Une exposition rétrospective lui fut consacrée en 1995 à la Bibliothèque Forney, ainsi que des expositions tournantes, notamment aux Etats-Unis. Maquette originale pour une campagne publicitaire pour cette solution de gouttes nasales "Biphédrine" menée par Draeger vantant les mérites d'un médicament pour traiter l'obésité. Infimes taches.
Boulot Aviateur.
imprimerie Delattre 1937 1 Affiche lithographiée signée en bas à droite dans la planche, imprimerie Delattre, Location Film, 1937, 120 x 160 cm.
Affiche du film "Boulot Aviateur" réalisé par Maurice de Canonge (1984-1979), avec Michel Simon (1895-1975), Robert Arnoux, Marguerite Moreno... Belle affiche lithographiée, pliée, avec de petites déchirures. Elle est illustrée par Petitjean (.
"Course la Galope".
Paris L'Atelier Eric Seydoux 1976 Affiche sérigraphiée en 5 couleurs, New York, Pace Editions Inc., Paris, L'Atelier Eric Seydoux, 1976, 90 x 67 cm., cadre.
Cette affiche a été réalisée d'après le dessin « Polymorphie IV » (1971) et fut réutilisée en 1976 pour lalbum « Fables ». Tirage limité à 62 exemplaires signés et justifiés (in Webel, L'oeuvre gravée et les livres illustrés, N°1180). Infime déchirure en marge. Sérigraphie non justifiée provenant de l'atelier de l'imprimeur. Jean Dubuffet (Le Havre 1901-1985 Paris) Peintre, sculpteur, illustrateur, costumier pour le théâtre, lithographe. Il suit des cours du soir à l'École des Beaux-Arts, puis passera quelques mois à l'Académie Julian et fréquentera des artistes mais ce n'est qu'à partir de 1942 qu'il se consacrera exclusivement à la peinture. Il exposera régulièrement à la Galerie René Drouin, puis à la Galerie Pierre Matisse, Jeanne Bucher... Il est exposé dans de nombreuses galeries à Paris, New-York, Chicago, Londres, Bâle... Il est exposé dans de nombreux musées dont le Musée d'Arts Modernes, Centre Georges Pompidou,des Arts Décoratifs (Paris), Tate Gallery (Londres), au Guggenheim, Museum of Modern Art (New York), Musée des Beaux-Arts (Montreal). ll est l'un des piliers de l'Art Brut.
Contes: La Belle au bois dormant, Cendrillon, Barbe bleue, Peau d'âne, Les oeufs.
Paris ED° D'ART LA ROSERAIE 1922 1 Préface de Henri de Régnier. Notice bibliographique d'Ernest Tisserand. Paris, Editions d'Art de la Roseraie, Lacourière, 1922, in-folio, couverture imprimée et rempliée, (12)-68-VII-(9) pages.
Édition illustrée de 16 eaux-fortes originales de DRIAN : 11 hors-texte et 5 bandeaux en noir. Contient : La Belle au bois dormant, Cendrillon, Barbe-Bleue, Peau d'Ane (en vers), et Les Oeufs. Illustration d'esprit "dix-huitième", élégante et nocturne, onirique et magique : l'un des très beaux Perrault modernes. Tirage limité à 396 exemplaires d'un superbe tirage des Ateliers La Roseraie-Lacourière. Celui-ci sur vélin d'Arches teinté. Brochage fragile, petites usures et déchirures à la couverture. Nous joignons le bulletin de souscription accompagné de sa présentation. Intérieur très frais.
Conduire une Peugeot c'est être à la mode.
1934 Montrouge, Draeger, 1934, in-12 spiralé (12.5 x 17.5 cm), couverture illustrée en couleurs, 5 planches dépliantes illustrées en couleurs
Ce catalogue illustré présente les modèles Peugeot 201 et 301, dont 5 planches dépliantes. La couverture reprend le superbe visuel de Reynalod Luza qui illustrait un précédent catalogue Peugeot. Petites usures et salissures à la couverture.
Arandora Star. Lumières du Nord.
1936 Paris, Publimp-Nadal, 1936, in-4 relié par 2 agrafes, couverture illustrée d'une photographie en noir, Plus de 70 photographies exéctées en Héliogravure.
Plaquette publicitaire vantant les avantages d'une croisière de luxe, à la découverte des Lumières du Nord à bord de "L'Arandora Star" de la Compagnie Blue Star Line. Ce catalogue réunit plus de 70 photographies, en noir et blanc, de Fernand Nadal (1898 ou 1902 en Algérie, date de décès inconnue). Artiste photographe et publicitaire, il fit de nombreux reportages pour le Gouvernement Général de l'Indochine, il collabora au Monde Colonial Illustré, aux Expositions Coloniales de 1922 et 1931, et réalisa de nombreuses photographies d'art et industrielles (Cochinchine, Calmbodge...), cartes postales et publicités (Marie-Agathe Simonetti). Cet album nous fait voyager au Spitzberg, aux îles Loofoten, Magdalena Bay, les Glaces de la Banquise, ses soleils de Minuit, La Baltique, Tallin-Reval, Copenhague, ... Nadal appréciait les photographies vides de personnages. Joint la liste des croisières avec tarifs et dates. Infimes usures.
Les Contes Aromatiques : Le Soleil de Platine pour Égoïste Platinium ; Le Héros de Gaïa pour Antaeus ; Histoires d'Iles pour Cristalle ; La 1002e nuit de Schéhérazade pour Coco ; Conte du Temps Présent pour Allure ; Ambassade en Imaginaire pour le N°5 ; La Princesse et le Mime pour le N°19. Le Conte de Noël.
1994 Série de six "Contes Aromatiques", suivi de un "Conte du Temps Présent" et de "Le Conte de Noël", Vue sur la Ville, 1994-1996-1997, 8 volumes in-8 oblong (13 x 18 cm), reliés par deux agrafes, couvertures sur papier mat illustrées d'une vignette.
Ces contes aromatiques évoquent, chacun à leur manière, la séduction imprégnée du monde floral qui compose l'univers du parfum. L'illustration est confiée à de grands artistes qui réussissent à créer un univers onirique dans lequel souffle une brise énergisante et spontanée. Face au succès que reçurent ces dossiers de presse, Chanel décida de les adopter en petit format afin de les offrir à leurs clientes. C'est la version que nous proposons. Jacques Tardi illustre Le Soleil de Platine pour Égoïste Platinium, Le Héros de Gaïa pour Antaeus est confié à Jean-Claude Götting, Histoires d'Iles est réalisé par Loustal tandis que Bertrand Bataille prête sa plume à La 1002e nuit de Schéhérazade. Sous la plume de Walter Minus, le N°5, parfum intemporel, traverse les époques. Nous joignons le Conte de Noël illustré par Max Cabanes."En 1996, Chanel lance Allure, un nouveau parfum féminin: il conjugue l'esprit intemporel, audacieux de la marque et une composition vraiment novatrice, qui l'inscrit résolument dans le futur. L'illustration du conte rédigé à cette occasion s'inspire du style des vases grecs de l'Antiquité, auquel nous avons adapté l'univers chromatique choisi par Jacques Helleu -le directeur artistique de la maison Chanel- pour le parfum: noir, blanc, or, et un beige particulier, teinté du rose de la peau féminine" (in "Traits séduisants" de Alain Lachartre, Éditions Scala, 2006). Le texte de ce catalogue est de Françoise Aveline et les dessins sont de Walter Minus. Belle et rare collection. Quelques pâles piqûres à une couverture. Provenance : Exemplaires de l'éditeur Alain Lachartre, signés par lui.
"Le Mont Saint-Michel et ses moutons de prés salés".
1958 Gouache sur papier fort monté sur son encadrement de bois, signée en bas à droite, 1958, 75 x 138 cm.
Albert Brenet (Harfleur 1903-2005 Saclay), de ses origines havraises, a gardé un goût certain pour la mer. Peintre de la Marine et de l'Air, c'est tout naturellement qu'il sillonna les mers et les océans du monde dont il témoigna son amour par des vues de navires et de cargos, de ports, d'équipages. Tel un ethnographe, il rapporta de ses nombreux voyages des vues de paysages dont cette approche du Mont, en contre-jour, et de sa baie animée de ses fameux moutons de prés salés, Appellation d'Origine. Petites marques et infimes trous d'épingle marginaux, taches ou épidermures. Inscription au verso en bois "30 juin 1958".
Le Visage de la paix. Illustrations de Picasso.
Paris EDITIONS DU CERCLE D'ART Mourlot 1951 1 Paris, Éditions Cercle d'Art, Mourlot, 1951, in-8, broché, couverture crème rempliée, titre imprimé en noir, 62 pages.
Pablo Picasso, artiste novateur et engagé, se joint, pour la dernière fois, à son ami Paul ÉLUARD, écrivain surréaliste, pour dessiner le Visage de la Paix. Conscient de l'importance de son engagement politique, Picasso, devint après la seconde guerre mondiale, un fervent activiste de la paix. Les 29 lithographies à mi-page, sur le thème de la Paix, sont tirées par Mourlot, et s'ajustent au fil du poème d'Eluard situé en-dessous. Texte et illustrations se fondent sous le signe de la pureté. Légères usures à la couverture. Tirage limité à 2.200 exemplaires. Un des 2.000 exemplaires numéroté sur vélin offset supérieur.
Les Déjeuners. Dessins originaux.
Vallauris Imprimerie Arnera, 1962 1 in-4 Cannes, Galerie Madoura, Vallauris, Imprimerie Arnera, 1962, in-4, broché, couverture lithographiée.
Ces oeuvres de Picasso traitent le "sujet du Déjeuner sur l'Herbe dans un esprit personnel. Il nous offre un choix de personnages typiquement picassiens (...)". L'encadrement du dessin de la couverture est une gravure originale de Pablo Picasso faite le 27 juillet 1962. Petite oxydation aux agrafes et légers plis à la couverture. In Bloch 1061 ; Baer 1366b Tiré à "1000 épreuves sur vélin fort".
La Maison Tellier.
Europa Edition, Gunther Koch 1948 1 in-4 Illustrations de Henri de Toulouse-Lautrec. Hambourg, Europa Edition, Gunther Koch, 1948, in-4, cartonnage crème illustré en noir, dos vert,
Cette nouvelle de Guy de Maupassant est illustrée de 16 reproductions lithographiées en noir et en couleurs d'Henri de Toulouse-Lautrec. Légères salissures à la couverture, usures au dos avec un petit manque et griffures.
"Le Baise-main".
1920 Encre de Chine, (1920), 15.3 x 19.7 cm. (format à vue), 25 x 29 cm. (format de la feuille).
Maquette originale de Paul Allier pour "Les Caresses" de Jean Richepin. Ces quelques vers de Jean Richepin, sont légendés, sous le dessin "Et lache j'ai derechef, Ployé à mon coeur et mon chef à ta guise..." Brumaire N°10, dessin N°10. Manque de papier au coin supérieur gauche (4 x 3 cm.) et salissures n'atteignant pas le dessin. Paul Allier (1883-1967), peintre, dessinateur humoriste, décorateur, expose dans divers Salons entre 1913 et 1919. Collabore à La Baïonnette, Fantasio, Le Matin, Ric et Rac, collection le Roi des Scouts ...
"Les courses".
1948 Aquarelle et fusain signée en bas à gauche, 1948, 29.5 x 22.5 cm.
Joseph Hémard ( 1880 - 1961 ) est un artiste prolifique. Il collabore à de nombreuses revues dont Le Rire, Le Pêle-Mêle, L'Assiette au Beurre ... Il illustre de nombreux ouvrages de Molière, Balzac, Rostand, collabore avec l'éditeur Kieffer... Ses talents d'Humoristes s'exercent également dans la publicité. Il expose dans de nombreux salons tels que Le Salon des Humoristes, le Salon d'Automne ou de l'Araignée. Dessin caractéristique du style d'Hémard : traits sinueux et à la silhouette cernée, opposition de couleurs marquées.
"La femme au Jardin".
1949 Aquarelle et fusain signée en bas à gauche, 1949, 31.3 x 24 cm.
Joseph Hémard ( 1880 - 1961 ) est un artiste prolifique. Il collabore à de nombreuses revues dont Le Rire, Le Pêle-Mêle, L'Assiette au Beurre ... Il illustre de nombreux ouvrages de Molière, Balzac, Rostand, collabore avec l'éditeur Kieffer... Ses talents d'Humoristes s'exercent également dans la publicité. Il expose dans de nombreux salons tels que Le Salon des Humoristes, le Salon d'Automne ou de l'Araignée. Dessin caractéristique du style d'Hémard : traits sinueux et à la silhouette cernée, opposition de couleurs marquées. Titré et daté au verso.
Bugatti, le pur sang de l'automobile. Elégance.
Montrouge Draeger 1932 1 Montrouge, Draeger, (1932), in-8, en feuilles, sous couverture rouge rempliée, titre en long, illustré de photographies en noir.
Plaquette publicitaire illustrée de photographies en noir et blanc de Carabin présentant des "élégantes" telles que la 30 CV Type 46, Berline 3 ou 4 places et coupés Berline et les Châssis types 46 et 49. Les planches sont illustrées en noir par Hemjic. Marcel-Jacques HEMJIC (1895-1942), élève de Bernard Boutet de Monvel,est illustrateur, affichiste et membres des humoristes. Il expose aux Arts Décoratifs et fait parti des artistes de la Maison Draeger. Il collabore au : "Rire" (1911-13), la "Baïonnette" (1918), le "Sourire" (1919-21), le "Femina" et pour les revues de mode A.G.B., Monsieur, L'Homme Élégant... Petites usures à la couverture, restauration au dos.
Pontoise ou la folle journée.
1920 1 Illustrations d'Edy-Legrand. Paris, éditions René Kieffer, imprimerie Hérissey, 1920, in-8, broché, couverture violine rempliées, titre doré.
Le "Prince des Poètes" use de tous les tons dans sa "revue" de Pontoise et joue volontairement avec la prose, le tout rythmé par les charmants pochoirs d'Edy-Legrand. Tirage limité à 550 exemplaires. Un des 500 exemplaires sur vélin d'Arches. Insolation à la couverture, infimes salissures.
Á travers les vieilles églises de Paris.
Paris l'Estampe Moderne 1944 1 in-4 Eaux-fortes originales de Robert STERKERS. Paris, l'Estampe Moderne, 1944, grand in-4, vélin à bradel, plats biseautés, couverture illustrée représentant l'église Saint-Pierre-de-Montmartre, gardes jaspées, 80 pages.
"Visiter les églises de Paris, c'est évoquer tout le passé de notre capitale, de notre France" Petites usures et salissures à la reliure, mouillures interne, Tirage limité à 375 exemplaires dont 25 exemplaires hors-commerce. Un des 250 exemplaires sur papier Rives blanc (N°312).
"Le boudoir".
1945 Impression sur papier fort avec rehauts de gouache et légende imprimée, (1945), 20 x 16 cm.
Christian-Jacques Bérard, couramment surnommé « Bébé », peintre, illustrateur, scénographe, décorateur et créateur de costumes français (Paris 1902-1949) représente un boudoir dont la légende imprimée dit "C'était un boudoir tout rose, tout soyeux.." Dans une pièce meublée coquettement, une table est dressée ; il ne manque plus que les convives. Envoi signé de Christian Bérard. Trou d'épingle, papier jauni.
"Les Misérables".
1982 Encre sur transparent et sanguine sur papier signée et datée en bas à droite, 1982, 50 x 65.5 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Avec Robert Hossein, aidé par l'historien Alain Decaux, qui réalisa une des adaptions les plus fidèles du roman de Victor Hugo "Les Misérables", il crée les affiches. Une chaîne brisée, constituée d'anneaux figuratifs, constitue le décor de ce projet d'affiche. Du côté droit se détache quatre visages dont ceux de Jean Carmet (l'aubergiste Thénardier) et Lino Ventura (Jean Valjean), de l'autre côté Michel Bouquet qui incarne l'inspecteur Javert. Sur le dessin figure des traces de colle, de scotch et plis.
"Les barricades".
1982 Brou de noix et encre noire sur papier cartonné signé et daté en bas à droite, 1982, 50 x 65.5 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Robert Hossein, avec l'aide de l'historien Alain Decaux, réalisa en 1982 une des adaptions les plus fidèles du roman de Victor Hugo "Les Misérables". Ce dessin est un projet pour l'affiche du film. Jean GOURMELIN synthétise le film en choisissant une scène qui est l'apothéose du roman de Victor Hugo et qui fait parti de l'imagerie collective. La scène se passe à Paris pendant l'insurrection républicaine de juin 1832, lors des émeutes sanglantes des barricades. "Les goujats" sont massés contre une chaîne, symbolisant à la fois les chaînes du forçat Jean Valjean et les barricades. Les personnages principaux, les "héros de la République" sont au premier plan, serrés les uns contre les autres et facilement reconnaissables: Jean Valjean (Lino Ventura), Thénardier (Jean Carmet), Gavroche, Marius, Cosette, Fantine... Tandis qu'une figure se détache de la composition à l'encre brune, tout de noir vêtu, droit, tel une ombre menaçante, l'inspecteur Javert (Michel Bouquet) assiste, stoïque à la scène.
"Le grenier".
1970 Sépia et plume signé en bas à droite, (1970), 31 x 47.5 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Dans un grenier, des hommes et des femmes nus, tels des atlantes et des cariatides, soutiennent avec leurs têtes des poutres. Ils servent de piliers, assurant ainsi la stabilité de l'édifice. Ce dessin est une allégorie du faible (symbolisé par la nudité) soumit. Dessin reproduit page 49 in "Dessins de Jean Gourmelin - 1982 Taichung, Formose Editions Printer".
"Sur la plage".
1982 Encre de Chine, (1960), 30 x 65 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Trois hommes et trois femmes sont sur une plage à marée basse. Chacun profite à sa manière de ce moment de détente. Déchirures, légers plis et salissures au dessin.
"Les vacances".
1980 Encre de Chine, (1980), 10 x 28 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Dessin, pour le magazine Le Point, repésentant un couple, allongé sur une plage. Chacun a une jamble pliée, l'autre reposant sur la première. Ils partagent le même ouvrage... qui recouvre leurs têtes. Ils adoptent par mimétisme la même attitude, étant en accord "parfait". Linversion est un thème qu'aborde de manière récurrente l'artiste. Est-ce un clin d'oeil à l'inanité des vacanciers ? Jean GOURMELIN collabore pour le magazine Le Point entre 1973 et 1988. Il y illustra des sujets de société.
"Couple sur la plage".
1980 Encre de Chine et lavis signé et daté en bas à droite, 1956, 49 x 65 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Voici un sujet léger : Par une belle journée ensoleillée, un couple est sur une plage. L'homme est assis et regarde au loin la mer où vogue un voilier ; Au même moment sa compagne lit, profitant d'un moment de tranquilité. En 1956, Jean GOURMELIN, travaillait pour le Maître verrier Max Ingrand et ne se consacrera pleinement au dessin qu'à partir de 1968.
"Le Comptable".
1995 Encre de Chine signée et datée en bas à droite, 1995, 49 x 65 cm., encadrée.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Un homme -comptable de profession- est allongé au milieu d'une multitude de zéros. Il est submergé par cette succession de chiffres sans fin... qui se répète inlassablement, comme ses journées immuables ! Jean GOURMELIN montre la fragiité de l'homme qui ne tient qu'à un fil... Ce dessin fut présenté lors de la rétrospective qui eu lieu à Meudon en avril 2013.
"Luce sur la plage".
1953 Pastels et gouache, (1953), 26.5 x 49 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Sur la plage, un livre ouvert, Luce arborant un maillot de bain jaune, regarde au loin la mer.
"Luce, nue".
1953 Encre de Chine et lavis signé en bas à gauche, (1953), 39.5 x 52 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Jean GOURMELIN, peint sa compagne Luce, avec tendresse et amour.
"Page blanche".
1985 Encre de Chine signée en bas à gauche, (1985), 21 x 30.5 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Le syndrome de la page blanche, l'angoisse des artistes en quête de la perfection...
"Plage de La Baule".
1980 Aquarelle signée et datée en bas à gauche, 1980, 15 x 30 cm., encadrée.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées (Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Le soleil couchant éclaire ces corps dénudés, à contre-jour, qui évoluent sur cette plage de La Baule, au mois d'août 1980, où les Gourmelin aimaient y passer leurs vacances.
"Gorille et mannequin ".
1968 Encre de Chine signée en bas à gauche, 1968, 13.7 x 17.5 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Un gorille, fort et vigoureux, soulève d'une seule main un mannequin en tissu sur un support en bois avec pied tripode. Illustration pour les Chefs d'Oeuvre du dessin.
" SPDZX ".
1980 Encre et aquarelle signée et datée en bas à gauche, 1980, 30 x 24 cm
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Les lettres de l'alphabet, en relief, forment un labyrinthe dans lequel chacun essaie de retrouver son chemin. Les lettres "S.P.D.Z.X." paraissent au premier plan. Il s'agit d'u dessin commandé par une entreprise.
"Le gynécologue à guichet fermé".
1980 Encre de Chine, 1980, 13 x 28 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Un gynécologue, adossé contre la porte de son cabinet, empêche une foule de patientes nues et implorantes, d'y entrer. Dessin de presse pour le magazine Le Point.
"L'Artiste et son modèle".
1710 Encre de Chine signée en bas à droite, 17 x 10 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Ce dessin est un clin d'oeil à la peinture de genre. Il représente un artiste assis face à son tableau -modèle- vivant... Jean Gourmelin célèbre la peinture en montrant qu'il ne s'agit pas d'une "nature morte", mais bien au contraire d'un Art vivant !
"Le Départ".
1986 Encre de chine et plume signée et datée et haut à droite, 1986, 37 x 28.5 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Dans un univers onirique, au caractère improbable et tragique, des hommes et des femmes sont sur le départ... Dessin reproduit dans le catalogue de l'exposition "Jean Gourmelin - Dessins et aquarelles" du Musée d'Art et d'Histoire de la ville de Meudon en 2004.
"Oedipe et le sphinx".
1970 Encre de Chine signée en bas à droite, (1970), 27.5 x 27 cm., encadrée.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Un Sphinx, domine colossalement la scène, de par sa taille monumentale, composé d'une tête humaine, d'un buste féminin et de pattes de lion allongées et griffues. Face à cette statue fabuleuse -symbolisant la fécondité- Oedipe ouvre grand son manteau, tel un voyeuriste. Son pantalon tire-bouchonné gît sur le sol, découvrant ainsi ses attributs...
"La justice brisée".
1980 Dessin à l'encre de Chine signé en bas à droite, (1980), 16 x 30 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). La justice est en danger. Bien qu'impartiale, la cécité de Thémis en témoigne, ainsi que le glaive à double tranchant et la table des lois, les chaînes qui assurent l'équilibre des deux plateaux de la balance sont brisées. Le mécanisme de pesée n'est plus assuré et la décision de justice qui se veut juste et égale est menacée. Dessin de presse pour le magazine Le Point.
"Paris a capitulé : les vacanciers occupent la capitale".
1969 Dessin à l'encre sur papier fort, signé et titré en bas à gauche, 1969, 15.5 x 17 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Enfant et adultes, armés de masque, tuba, palmes, rame, pelle, caméra et d'un harpon sont prêts à défendre leurs vacances au péril de leur vie.Tels leurs ancêtres parisiens-héros de la République lors des émeutes de juin 1832 (immortalisés par Delacroix), ces vacanciers parisiens sont statufiés par Jean GOURMELIN. Dessin de presse pour France-Soir. Annotations manuscrites de l'artiste, à la mine de plomb et cachet de France-soir.
"L'Enfant du hasard".
1975 Dessin à l'encre de Chine, titré en haut à gauche à la mine de plomb, signè en bas à droite, (1975), 25.5 x 14 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). La Dame de coeur est représentée par un double portrait symétrique. Coiffée d'une couronne et vêtue à la mode des XVIe ou XVIIe siècles, elle porte dans ses bras un bébé serré dans un lange. Cett carte symbolise à la fois le domaine sentimal et le domaine relationnel ainsi que la féminité. Le bébé, dans les bras de la reine de coeurn renforce le côté maternel de la carte. Illustration pour le magazine Le Hasard.
"L'Échiquier".
1970 Encre de Chine, signée en haut à gauche et en bas à droite, (1970), 30 x 22.5 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Le principe du jeu d'échec est d'empêcher un roi de se déplacer afin de le déclarer mat (mort). Mais le but de ce jeu d'origine indienne, revisité par la culture chrétienne autour de l'an mille, est de jouer plus que de gagner, comme lors des guerres féodales où l'important était de combattre plus que de vaincre. Ce jeu d'échec se présente avec un plateau quadrillé en noir et en blanc. Ces deux couleurs symbolisent le bien et le mal, la bonté et le péché, la vie et la mort, le jour et la nuit... des pièces sont posées sur le plateau où apparaissent des pions, des tours, un cavalier et un roi. Au dos cachet de la revue Pilote, Dargaud éditeur.
"Les hasards du jeu".
1975 Encre de Chine, titrée en haut à droite, signée en bas à droite, (1975), 30 x 25 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Les joueurs de cartes sont un thème récurrent en Histoire de l'Art. En regardant ce dessin de Jean GOURMELIN, comment ne pas penser aux frères Le Nain, à Georges de La Tour, au Caravage, à Paul Cézanne et à Fernand Léger ? L'intensité du jeu est forte. La scène est réduite à l'essentiel : Un plan serré présente trois mains tenant des cartes et appartenant à trois joueurs différents. Les joueurs s'affrontent. Mais qui va gagner ? Est-ce le meilleur ou bien est-ce dû au hasard ? Au verso annotations manuscrites et à la mine de plomb de l'artiste, pour l'impression.
"Un coup d'oeil au hasard".
1980 Encre de Chine, titrée à l'encre en haut à gauche et signée dans le dessin à la mine de plomb, (1980 ), 31.5 x 24.5 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Cette illustration nous fait penser à l'aphorisme de Théophile Gautier "Un papillon blanc qui voltige, Un coup doeil au hasard jeté, Vous fait surprendre sur sa tige La fleur dans sa simplicité". Un visage, en forme de dé, à pour pupille des dés dont le total amène au chiffre 7, le "nombre parfait". Annotations manuscrites et esquisse à la mine de plomb au dos.
"L'enlèvement de Déjanire".
1970 Encre de Chine signée en bas à droite, ( 1970), 30 x 23 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Scène mythologique dans laquelle le centaure Nessus, mi-homme mi-cheval, enlève Déjanire la femme d'Hercule. Ils sont dans la fôret de Thessalie ; les arbres, à la disposition symétrique, sont des cactus dont les troncs sont transformés en futs de colonnes corinthiennes.
"Femme kangourou".
1970 Encre de Chine signée en bas dans le dessin, (1970), 23 x 21 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Une femme kangourou, porte dans sa poche marsupiale son petit. Elle regarde pacifiquement autour d'elle. Au second plan elle bondit sur ses pattes arrière.
"Mon cher Watson".
1970 Encre de Chine, signée en bas à droite, (1970), 32 x 26.5 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Watson, armé de sa loupe, pipe à la bouche, inspecte de près une jeune Dryade. Annotations à la mine de plomb de l'artiste au verso.
"La sieste".
1970 Encre de Chine, signée en bas à droite, (1970), 35.5 x 25.5 cm., encadée.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Hommes, femmes, nus ou à demi-vêtus, sont allongés dans des hamacs. Chacun tient une extrémité du hamac de son voisin. Bel éloge de la sieste à l'équilibre fragile ! Certains dorment ou lisent, d'autres rêvent ou se prélassent...
"Les êtres escaliers".
1970 Encre de Chine signée en bas à droite, ( ), 32.5 x 26 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Scène énigmatique, proche du rêve et de l'irrationnel. Dans une athmosphère inquiétante et fantastique, un homme monte les marches d'un escalier mi-homme mi-lézard, vers un lieu qu'il ne connaît pas. Où va t'il ? Quelle distance lui reste-t'il à parcourir ?
"La Fête foraine".
1968 Encre de Chine signée en bas à droite, (1968), 20 x 14 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Une jeune-femme est devant un stand de tir et avec un fusil de plomb elle dégomme une tête. Rousseurs éparses n'atteignant pas le dessin.
"Haltérophile et Tanagra".
1970 Encre de Chine, (1970), 28 x 18 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Telles des statuettes votives, un couple est représenté de manière stylisée. Un haltérophile, filiforme, soulève des poids, les bras tendus au-dessus de sa tête. À ses côtés une femme porte une amphore sur sa tête. Dessin de presse pour la revue "Hara-Kiri".
"L'Amour fou".
1970 Encre de Chine signée en bas à droite, (1970), 22 x 15 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Un homme nu, marche, et porte sur ses épaules une jeune-femme, nue également. Ils sont tellement complices qu'ils ne forment plus qu'un ! Deux corps pour une même tête ...
"Jacqueline".
1970 Encre de Chine, (1948), 37 x 42 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Ce nu s'inscrit dans la tradition du nu féminin, tel que Titien, le grand maître italien de ce genre le réalisa. Ce dessin est également inspiré de "l'Olympia" de Manet. Une jeune-femme nue est allongée sur un lit richement paré. Sensuelle, elle nous tourne le dos et regarde lascivement au loin... Au verso esquisse à la mine de plomb.
"Sur la plage".
1947 Fusain et crayons de couleurs, (1947), 32.5 x 38.5 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Esquisse représentant deux femmes profitant d'un moment de détente sur une plage. L'une est allongée, l'autre est relevée sur ses avant-bras.
"Timidité".
1925 Terre cuite à patine verte signée sur l'épaule droite, (1925), H.36, 5 x L.30 x p.20 cm.
Annotations en relief sous la base: numérotée 26, situé St-Clément France et Terre cuite dart. La Manufacture de Saint-Clément en France se distingue par son savoir-faire artisanal et industriel de la céramique, transmis de génération en génération. Cette tradition demeure bien vivante à Saint-Clément. Elle est lun des éléments les plus prestigieux du patrimoine culturel régional. Saint-Clément représente 250 ans de traditions de faïence dArt déjà adopté par la Reine de France Marie-Antoinette en 1785 pour orner les jardins du Petit Trianon remodelé par Le Nôtre. Plus tard, elle est présente dans différentes grandes expositions comme lExposition Universelle de 1878. Charles et Emile Gallé feront éditer leurs dessins à Saint6clément de 1864 à 1876. La production sera toujours active avec la grande période de lArt Déco dans les années 1920. Cette sculpture au style épuré, géométrique et à la couleur végétale montre une jeune femme à la coiffure moderne, elle pourrait être lun des modèles de Tamara de Lempicka (1898-1980).Bibliographie: 1758-2008, 250 ans de Faïences à Saint-Clément. Petites taches dues à lusure de la patine.
Chère Charlotte.
1995 1 Cuivres originaux par Yvan Theimer. Verona, Edizioni d'Arte Gibralfaro, 1995, in-8, couverture à rabats, titrée et illustrée d'une eau-forte, sous étui.
Ivan THEIMER, sculpteur, peintre et illustrateur, (Olomouc-Moravie-1944), s'initie à l'Ecole des Arts Décoratifs de Uherské Hradiste puis se réfugie en France en 1968 et reprend ses études à l'Académie des Beaux-Arts de Paris. Sa participation au Salon de la Jeune Sculpture est le point de départ d'expositions internationales en France, Suisse, Italie, Etats-Unis ... La célébrité lui sourit grâce à ses réalisations monumentales : sculpture pour le "Monument de la Déclaration des Droits de l'Homme" au Champs de Mars à Paris, "Obélisques" au Palais de l'Elysée, la "Fontaine d'Orion" à Olomouc, "L'Obélisque" de la Place de la Victoire à Bordeaux ... Il réalise les décors pour "Le Barbier de Séville" pour l'opéra de Rossini au Festival d'Aix en Provence, et ceux de "Julius Caesar" de Häendel pour l'Opéra de Götebourg en Suède. Graveur à l'eau-forte de talent il illustre " Le passegiate" de J.J. Rousseau, "Le Roi Cophetua" de Julien Gracq, "La nuit de Gheel" de Jean Mistler, "Trois tortues et quelques autres" de Roger Grenier, "Chère Charlotte" de Bohumil Hrabal ... "Je regarde l'affiche de la nuit et j'ai envie de pleurer devant les réclames des étoiles, devant la beauté, devant la vie". Ces trois poésies de Bohumil Hrabal, dont l'une titrée très justement "Embarquement", traduites en français par Marianne Canavaggio, sont illustrées de 9 eaux-fortes dIvan Theimer imprimées à la main par Anna Ziliotto dont une signée. Pour lédition italiennela traduction est de Giuseppe Dierna. La typographie soignée est réalisée en caractère Bambo. Le tirage est limité à 200 exemplaires imprimés à la main sur papier Arches dont 100 pour lédition française et 100 pour lédition italienne. Les eaux-fortes de Ivan THEIMER sont la fusion d'une force quasi-brutale et de poésie intérieure. La "Bellissima Olga" prêta ses traits pour magnifier "Charlotte".
"Arion".
2000 Aquarelle et encre de Chine signée, titrée et datée en bas à droite, 2000, 9 x 12.5 cm., encadrée.
Ivan THEIMER, sculpteur, peintre et illustrateur, (Olomouc-Moravie-1944), s'initie à l'Ecole des Arts Décoratifs de Uherské Hradiste puis se réfugie en France en 1968 et reprend ses études à l'Académie des Beaux-Arts de Paris. Sa participation au Salon de la Jeune Sculpture est le point de départ d'expositions internationales en France, Suisse, Italie, Etats-Unis ... La célébrité lui sourit grâce à ses réalisations monumentales : sculpture pour le "Monument de la Déclaration des Droits de l'Homme" au Champs de Mars à Paris, "Obélisques" au Palais de l'Elysée, la "Fontaine d'Orion" à Olomouc, "L'Obélisque" de la Place de la Victoire à Bordeaux ... Il réalise les décors pour "Le Barbier de Séville" pour l'opéra de Rossini au Festival d'Aix en Provence, et ceux de "Julius Caesar" de Häendel pour l'Opéra de Götebourg en Suède. Graveur à l'eau-forte de talent il illustre " Le passegiate" de J.J. Rousseau, "Le Roi Cophetua" de Julien Gracq, "La nuit de Gheel" de Jean Mistler, "Trois tortues et quelques autres" de Roger Grenier, "Chère Charlotte" de Bohumil Hrabal ... Sur un fond bleu une tortue apparaît dans toute sa splendeur. Sa solide carapace nourrit une végétation luxuriante, travail préparatoire pour "La fontaine d'Arion" sculpture monumentale réalisée en 2012 pour sa ville natale d'Olomouc (République Tchèque). Cette oeuvre rend hommage à la légende d'Arion de Méthymne, poète et musicien grec, qui, pour remercier les dieux de l'avoir sauvé des pirates grâce à l'intervention d'un dauphin, leur offre une sculpture de bronze le figurant chevauchant son dauphin. Légers plis, infimes trous.
"Nu offrant son vêtement"
1982 Eau-forte et pointe-sèche signée, 1982, 21.5 x 13 cm.
Ivan THEIMER, sculpteur, peintre et illustrateur, (Olomouc-Moravie-1944), s'initie à l'Ecole des Arts Décoratifs de Uherské Hradiste puis se réfugie en France en 1968 et reprend ses études à l'Académie des Beaux-Arts de Paris. Sa participation au Salon de la Jeune Sculpture est le point de départ d'expositions internationales en France, Suisse, Italie, Etats-Unis ... La célébrité lui sourit grâce à ses réalisations monumentales : sculpture pour le "Monument de la Déclaration des Droits de l'Homme" au Champs de Mars à Paris, "Obélisques" au Palais de l'Elysée, la "Fontaine d'Orion" à Olomouc, "L'Obélisque" de la Place de la Victoire à Bordeaux ... Il réalise les décors pour "Le Barbier de Séville" pour l'opéra de Rossini au Festival d'Aix en Provence, et ceux de "Julius Caesar" de Häendel pour l'Opéra de Götebourg en Suède. Graveur à l'eau-forte de talent il illustre " Le passegiate" de J.J. Rousseau, "Le Roi Cophetua" de Julien Gracq, "La nuit de Gheel" de Jean Mistler, "Trois tortues et quelques autres" de Roger Grenier, "Chère Charlotte" de Bohumil Hrabal ... Cette estampe est un tiré à part du fontispice du livre "Le Roi de Cophetua" de Julien Gracq, une jeune femme nue offre son drapé.
"Trois tortues et quelques autres".
2002 1 Cuivres originaux par Ivan THEIMER, traduction italienne de Olga SPANIO, Verona, Edizion d'Arte Gibralfaro, 2002, broché, in-8, plat de couverture cartonné titré orné d'un médaillon bas-relief en argent patiné au décor de tortue végétale signée Ivan THEIMER dans la plaque, sous boîte cartonnée à fenêtre, 33 pages.
Edition numérotée limitée à 129 exemplaires, 99 en chiffres arabes et 30 en chiffres romains, à double version, française et italienne en caractère Dante imprimé à la main sur papier Alcantara. Roger Grenier (Caen 1919) écrivain, journaliste et homme de radio français, régent du Collège de Pataphysique 2 fut engagé par Albert Camus dans l'équipe de Combat, puis à France-Soir 4, membre du comité de lecture des Editions Gallimard depuis novembre 1963, il reçoit le Grand Prix de Littérature de l'Académie Française en 1985 pour l'ensemble de son uvre composée de plus d'une trentaine d'ouvrages. Cet ami de Ivan THEIMER (Olomouc-Moravie-1944), qui partage le même engouement pour les tortues, signe cette histoire initiée dans son enfance à Pau "Pareil au héros de L'Iliade, je cours après mes tortues ... à les poursuivre je vagabonde à travers mon enfance ... Où vont-elles m'entrainer ?". La réplique est donnée en 12 cuivres par Ivan THEIMER qui saisit à la pointe sèche la saga de ces trois tortues, et son imaginaire déborde ! Son médaillon, bas-relief en argent, est une véritable porte d'entrée dans ces promenades tortueuses. Ivan THEIMER, sculpteur, peintre et illustrateur, (Olomouc-Moravie-1944), s'initie à l'Ecole des Arts Décoratifs de Uherské Hradiste puis se réfugie en France en 1968 et reprend ses études à l'Académie des Beaux-Arts de Paris. Sa participation au Salon de la Jeune Sculpture est le point de départ d'expositions internationales en France, Suisse, Italie, Etats-Unis ... La célébrité lui sourit grâce à ses réalisations monumentales : sculpture pour le "Monument de la Déclaration des Droits de l'Homme" au Champs de Mars à Paris, "Obélisques" au Palais de l'Elysée, la "Fontaine d'Orion" à Olomouc, "L'Obélisque" de la Place de la Victoire à Bordeaux ... Il réalise les décors pour "Le Barbier de Séville" pour l'opéra de Rossini au Festival d'Aix en Provence, et ceux de "Julius Caesar" de Häendel pour l'Opéra de Götebourg en Suède. Graveur à l'eau-forte de talent il illustre " Le passegiate" de J.J. Rousseau, "Le Roi Cophetua" de Julien Gracq, "La nuit de Gheel" de Jean Mistler, "Trois tortues et quelques autres" de Roger Grenier, "Chère Charlotte" de Bohumil Hrabal ...
Monsieur de la Merlette à Grönköping.
Tapuscrit in-8, 1946, en feuilles, sous chemise rempliée gouachée d'un décor floral, illustré de sept gouaches contrecollées sur papier à pleines pages et ornementé de quatre culs-de-lampes et vignette sur fort papier glacé. 54 pages non chiffrées,
Cette fantaisie romancée a pour cadre Grönköping, bourg de Suède, dont l'action se passe vers 1860. Il y décrit les fêtes, bals où régnaient la valse, mais aussi les excursions en Scanie et à skis, ainsi que l'approche de Stockholm. Ecrit en 1946 à Fribourg. Charmantes illustrations originales gouachée, pleines de fraîcheur, qui expriment l'âme suédoise. Petites taches, restaurations à la couverture. Nom de l'auteur supposé par son précédent propriétaire.
Anciens et nouveaux.
1900 Paris, Édité par Avenir Publicité, (1900), in-folio, en feuilles, sous couverture rempliée et titrée, sous chemise rempliée en toile, dix-neuf planches en couleurs non chiffrées protégées par des serpentes.
DON croque avec humour et spiritualité les personnalités de son époque, dont SEM son ami. Ion DON (1894-1985) est un dessinateur de reportage, illustrateur pour de nombreuses revues, caricaturiste, humoriste, décorateur pour le théâtre et affichiste. Il exposa aux Humoristes, aux Parlementaires, à L'Araignée et à Humour 41-42. Envoi de l'artiste sur la couverture. Il a été tiré de cet ouvrage deux cents exemplaires numérotés (N°7). Salissures, petites usures et déchirures à la chemise, restaurations, fines déchirures à la couverture, légers plis et salissures aux planches.
"Transparence IX".
2003 50 x 40 cm Photographie, tirage analogique sur papier argentique datelier 1/10, signée au crayon au dos. Neuvième "tableau" de la série "Transparences", 50 x 40 cm., encadrée.
Edouard de PAZZI (né en 1964) vit et travaille à Paris. Photographe depuis 1988, il collabore à divers magazines et effectue de nombreux voyages comme photographe-reporter. A partir de 2001, Edouard de PAZZI se lance dans la photo d'art. En 2007, il est exposé à la MEP (Maison Européenne de la Photographie). "Je place souvent mes modèles « en suspension », dans un non-décor, évitant ainsi les détails qui pourraient renvoyer à une époque, à une situation, à un lieu donné. Je cherche à réaliser des photos plus achroniques quanachroniques. Je pratique aussi beaucoup le portrait ou plus exactement je photographie souvent des visages car il est rare que je cherche à représenter une personne en particulier, mais plutôt une idée que je me fait delle, cherchant dans le hiératisme des poses, laura qui émane delle plutôt que le sentiment quelle voudrait exprimer". Cette oeuvre représente un nu féminin de face en contact avec une porte vitrée permettant à l'artiste de jouer sur les contrastes et les points de contact.
"Quatre de coeur".
1984 Aquarelle et mine de plomb, 1984, signée en bas à droite, 22 x 16 cm.
Jean-Pierre Desclozeaux (né à Sernhac en 1938) est un affichiste, auteur d'albums ("L'oiseau Moqueur", "Entre chien et chat", "Mine de rien"...) et illustrateur à l'humour incisif. Il collabore à Télérama, Le Nouvel Observateur, Le Monde dans la rubrique "La Table"... Il fut l'élève de Paul Colin (de 1957 à 1960). Il a reçu le prix Grandville de l'Humour Noir (1967) et le prix Honoré Daumier (1982). Il expose dans de nombreuses galeries (à Paris, Munich, Londres, Avignon, L'Ile aux Moines...). Président de l'Association des Amis de Ronald Searle et Fondateur de la Société Protectrice de l'Humour, il est un fervent défenseur de la cause des illustrateurs. L'artiste, dans ses dessins, aime passer en revue les différents aspects de la vie quotidienne sans indulgence mais sans aucune méchanceté. Il aime à croquer ses contemporains, leurs moeurs et leurs travers. Maquette originale pour la carte postale "Les Nouvelles Images" où ce "4 de coeur" est personnifié par un homme attaché et écartellé par quatre coeurs, son sourire atteste que son supplice est supportable !
"La Paonne".
1980 Aquarelle, mine de plomb, 1980, 29.8 x 23.3 cm, signée en bas à droite, encadrée.
Jean-Pierre Desclozeaux (né à Sernhac en 1938) fut l'élève de Paul Colin (de 1957 à 1960). il se distingue comme affichiste, auteur d'albums ("L'oiseau Moqueur", "Entre chien et chat", "Mine de rien", "Cul-sec", "Fablerie" avec Jean du Frout ...) et illustrateur à l'humour incisif. Il collabore à Télérama, Le Nouvel Observateur, Le Monde dans la rubrique "La Table"... Il. Il a reçu le prix Grandville de l'Humour Noir (1967) et le prix Honoré Daumier (1982). Il expose dans de nombreuses galeries (à Paris, Munich, Londres, Avignon, L'Ile aux Moines...). Président de l'Association des Amis de Ronald Searle et Fondateur de la Société Protectrice de l'Humour, il est un fervent défenseur de la cause des illustrateurs. L'artiste, dans ses dessins, aime passer en revue les différents aspects de la vie quotidienne sans indulgence mais sans aucune méchanceté. Il aime à croquer ses contemporains, leurs moeurs et leurs travers. Maquette originale réalisée pour le "Jardin des Modes" et parue en 1980 qui représente une femme nue coiffée de plumes et portant un plumet au derrière en équilibre sur une chaise et devant chanter: "Mon truc en plumes ...".
"Le Paon".
1987 Aquarelle et mine de plomb, 1987, signée en bas à droite, 17 x 18 cm.
Jean-Pierre Desclozeaux (né à Sernhac en 1938) est un affichiste, auteur d'albums ("L'oiseau Moqueur", "Entre chien et chat", "Mine de rien"...) et illustrateur à l'humour incisif. Il collabore à Télérama, Le Nouvel Observateur, Le Monde dans la rubrique "La Table"... Il fut l'élève de Paul Colin (de 1957 à 1960). Il a reçu le prix Grandville de l'Humour Noir (1967) et le prix Honoré Daumier (1982). Il expose dans de nombreuses galeries (à Paris, Munich, Londres, Avignon, L'Ile aux Moines...). Président de l'Association des Amis de Ronald Searle et Fondateur de la Société Protectrice de l'Humour, il est un fervent défenseur de la cause des illustrateurs. L'artiste, dans ses dessins, aime passer en revue les différents aspects de la vie quotidienne sans indulgence mais sans aucune méchanceté. Il aime à croquer ses contemporains, leurs moeurs et leurs travers. Maquette originale d'une affichette annonçant le livre de Philippe Schwebig "Les Communications de l'Entreprise" paru en 1988 aux Editions Stratégie et Management M.C. Graw-Hill. Un cadre supérieur portant des plumes de paon dans son dos, l'air satisfait se regarde dans un miroir et son reflet lui livre un paon.
"Vivre au jardin".
1990 Aquarelle et mine de plomb, 1990, signée en bas à gauche, 20 x 16 cm.
Jean-Pierre Desclozeaux (né à Sernhac en 1938) est un affichiste, auteur d'albums ("L'oiseau Moqueur", "Entre chien et chat", "Mine de rien"...) et illustrateur à l'humour incisif. Il collabore à Télérama, Le Nouvel Observateur, Le Monde dans la rubrique "La Table"... Il fut l'élève de Paul Colin (de 1957 à 1960). Il a reçu le prix Grandville de l'Humour Noir (1967) et le prix Honoré Daumier (1982). Il expose dans de nombreuses galeries (à Paris, Munich, Londres, Avignon, L'Ile aux Moines...). Président de l'Association des Amis de Ronald Searle et Fondateur de la Société Protectrice de l'Humour, il est un fervent défenseur de la cause des illustrateurs. L'artiste, dans ses dessins, aime passer en revue les différents aspects de la vie quotidienne sans indulgence mais sans aucune méchanceté. Il aime à croquer ses contemporains, leurs moeurs et leurs travers. Maquette originale de la revue écologique "Vivre au jardin" pour le numéro 17 de juin 1990 "Jardiniers: êtes-vous des pollueurs ?". Un jardinier-amateur arrose une plante et sa tête d'arrosoir prend figure de mort. Titrage manuscrit au verso.
"Ligne de coeur".
1987 Aquarelle et mine de plomb, 1985, signée en bas à droite, 12.5 x 23 cm.
Jean-Pierre Desclozeaux (né à Sernhac en 1938) est un affichiste, auteur d'albums ("L'oiseau Moqueur", "Entre chien et chat", "Mine de rien"...) et illustrateur à l'humour incisif. Il collabore à Télérama, Le Nouvel Observateur, Le Monde dans la rubrique "La Table"... Il fut l'élève de Paul Colin (de 1957 à 1960). Il a reçu le prix Grandville de l'Humour Noir (1967) et le prix Honoré Daumier (1982). Il expose dans de nombreuses galeries (à Paris, Munich, Londres, Avignon, L'Ile aux Moines...). Président de l'Association des Amis de Ronald Searle et Fondateur de la Société Protectrice de l'Humour, il est un fervent défenseur de la cause des illustrateurs. L'artiste, dans ses dessins, aime passer en revue les différents aspects de la vie quotidienne sans indulgence mais sans aucune méchanceté. Il aime à croquer ses contemporains, leurs moeurs et leurs travers.